
Nos tests sérologiques sont une alternative fiable aux tests intradermiques pour déterminer les allergènes responsables d’une maladie allergique. Ces tests présentent une sensibilité et spécificité élevées : les lgE spécifiques d’allergènes présents dans le sérum de l’animal allergique sont mesurées en utilisant des anticorps monoclonaux à haute affinité pour les lgE. (Norme Afnor N° NFU47-019)
| MOLÉCULES | TEMPS DE RETRAIT CONSEILLÉ (JOURS) |
| Anti-histaminiques | 0 |
| Glucocorticoïdes (oral, action courte) | 0-7 jours* |
| Glucocorticoïdes (injectable, longue action) | < 28 |
| Glucocorticoïdes topiques | non connu |
| Inhibiteurs de la calcineurie | 0 (impact de la dose utilisée) |
| Inhibiteurs des janus kinases | 0 |
| Anticorps monoclonaux ciblant l’IL-31 | 0 (impact de la durée du traitement |
| Acides gras essentiels | 0 |
Des enveloppes matelassées contenant un tube et le feuillet de demande d’analyse vous sont envoyées sur simple demande :
1 – Déposer 1 ml de sérum ou de plasma dans un tube sec.
2 – Remplir la demande d’analyse.
3 – Envoyer l’ensemble par poste simple à l’attention du Laboratoire Destaing : 45 boulevard Marcel Pagnol, 06130 Grasse
(24 allergènes testés)
Dermatophagoides farinae
Dermatophagoides pteronyssinus
Tyrophagus putrescentiae
Lepidogylphus destructor
Acarus siro
Puce
Chat
Fétuque (Festuca pratensis)
Dactyle (Dactylis glomerata)
Ivraie (Lolium perenne)
Fléole (Phleum pratense)
Paturin (Poa pratensis)
Bouleau (Betula pendula)
Noisetier (Corylus avellana)
Saule (Salix nigra)
Armoise (Artemisia vulgaris)
Ortie (Urtica dioica)
Pariétaire (Parietaria officinalis)
Chénopode (Chenopodium album)
Plantain (Plantago lanceolata)
Alternaria alternata
Aspergillus fumigatus
Cladosporium herbarum
Malassezia pachydermatis
Dermatophagoides farinae
Dermatophagoides pteronyssinus
Tyrophagus putrescentiae
Lepidoglyphus destructor
Acarus siro
Puce
Chat
Fétuque (Festuca pratensis)
Dactyle (Dactylis glomerata)
Ivraie (Lolium perenne)
Fléole (Phleum pratense)
Paturin (Poa pratensis)
Cyprès (Cupressus sempervirens)
Noisetier (Corylus avellana)
Olivier (Olea europaea)
Platane (Platanus occidentalis)
Armoise (Artemisia vulgaris)
Pariétaire (Parietaria officinalis)
Chénopode (Chenopodium album)
Plantain (Plantago lanceolata)
Alternaria alternata
Aspergillus fumigatus
Cladosporium herbarum
Malassezia pachydermatis

Pour les pollens, les dosages sont réalisés avec des bloqueurs d’anti-CCD.
Contrairement aux acariens, les pollens expriment à leur surface des glycoprotéines appelées Cross-reactive Carbohydrate Determinants (CCD). Bien que n’ayant aucun rôle pathogène, les IgE anti-CCD sont comptabilisées lors des dosages sériques et induisent une interprétation faussement positive du résultat. Les bloqueurs d’anti-CCD agissent en interceptant les IgE anti-CCD sériques de l’animal, les empêchant de se lier sur les fractions glucidiques des pollens lors des tests ELISA, réduisant le risque de réactivité croisée et donc de faux positifs.
(24 allergènes testés)
Dermatophagoides farinae
Dermatophagoides pteronyssinus
Tyrophagus putrescentiae
Lepidoglyphus destructor
Acarus siro
Moisissures 1 (Alternaria alternata, Aspergillus fumigatus, Penicillum notatum, Cladosporium herbarum)
Moisissures 2 (Mucor racemosus, Stemphylium solani)
Moisissures 3 Pullularia (mélange)
Culex spp.
Culicoïdes
Taon (Tabanus spp.)
Mélange de graminées (Dactylis glomerata, Festuca pratensis, Lolium perenne)
Mélange de graminées céréalières (maïs, blé, avoine)
Armoise (Artemisia vulgaris)
Ortie (Urtica dioica)
Pariétaire (Parietaria officinalis)
Chénopode (Chenopodium album)
Bouleau (Betula pendula)
Noisetier (Corylus avellana)
Chêne (Quercus robur)
Olivier (Olea europaea)
Cyprès (Cupressus sempervirens)
Platane (Platanus occidentalis)
Les dermatoses prurigineuses sont un motif de consultation fréquent. Il convient de ne pas négliger, à côté des dermatoses d’origine allergique, les dermatoses d’origine parasitaire comme la gale sarcoptique.
Un prurit intense est souvent présent et la confirmation de la présence d’acariens lors de raclage cutané est souhaitable. Un raclage cutané négatif ne doit cependant pas exclure une gale sarcoptique, la présence d’acariens étant parfois limitée. Il convient de compléter, à ce stade, le diagnostic par un test sérologique.

Le test sérologique est un test immuno-enzymatique (ELISA). Il détecte les anticorps IgG contre Sarcoptes scabiei var canis dans le sérum des chiens infestés par l’agent pathogène de la gale.
La sensibilité et la spécificité de ce test ont été évaluées sur 113 chiens dont on avait, au préalable, cliniquement démontré qu’ils étaient atteints de la gale sarcoptique ou non. Ces essais ont montré que la sensibilité et la spécificité du test étaient respectivement de 92,1 % et 94,6 % (données internes).
Une augmentation des anticorps IgG est détectable 3 semaines après l’infestation.